L’utilisation de la semence de boucherie par les troupeaux laitiers a récemment pris de l’ampleur. 

Aujourd’hui, tout le monde produit des veaux croisés boucherie sur laitier ou y pense. 

Dès son plus jeune âge, Jonathan Lehouiller savait qu’il voulait être vétérinaire. Heureusement pour l’industrie laitière et bovine de l’est du Canada, il est non seulement devenu vétérinaire, mais également un entrepreneur dont les services profitent à de nombreuses personnes. 

Une question de l’associé adjoint Éric Patenaude a fait germer une idée qui a mené à une nouvelle et succulente initiative pour la Ferme Gillette d’Embrun, en Ontario.

Parlez à n’importe quel producteur laitier dans le monde de ses objectifs et il est à peu près certain qu’il mentionnera l’amélioration de la production.

La plupart des producteurs laitiers travaillent selon une routine stricte avec laquelle ils se sentent confortables. Ce confort va bien au-delà des tâches quotidiennes de la salle de traite et affecte les programmes d’élevage, impactant probablement certaines variations de la détection des chaleurs, de la synchronisation des chaleurs, de l’insémination artificielle (IA) et potentiellement de la fécondation in vitro (FIV) suivie du transfert d’embryon (TE).