L’un des moments les plus fiers dans la vie d’un parent est celui où il dépose son enfant à l’université. Non seulement l’enfant a-t-il été accepté dans un établissement d’enseignement supérieur, mais il s’engage également dans une voie qui contribuera à jeter les bases de son futur succès.

Le Rendez-vous laitier, organisé par l’Association québécoise des industries de nutrition animale et céréalière (AQINAC), s’est tenu le 20 mars dernier. Parmi les conférences présentées, trois ont retenu notre attention.

Les élevages de veaux et de génisses à forfait sont de plus en plus courants, car les fermes laitières cherchent à alléger la pression exercée par l’alimentation et la main-d’œuvre. 

La santé des veaux est une considération importante pour les producteurs laitiers. En effet, les maladies ont un impact sur la santé et le bien-être des veaux et sont associées à la production, à la santé et à la longévité de ces veaux à l’âge adulte.

Pour maximiser la valeur d’un système d’alimentation automatique, il faut faire plus que simplement élaborer un programme d’alimentation et diriger les veaux vers le distributeur. 

Aujourd’hui, tout le monde produit des veaux croisés boucherie sur laitier ou y pense. 

Le vêlage est une période stressante pour toutes les vaches, mais surtout pour les taures. En plus d’être une toute nouvelle expérience pour elles, la plupart des taures n’ont pas encore atteint leur poids mature au moment où elles vêlent.

Trop souvent, j’observe une approche du programme d’élevage de veaux à la « ce qui est fait est mieux que ce qui est parfait ». Alors que notre industrie laitière devient de plus en plus compétitive, nous devrions envisager de remettre en question cet état d’esprit.

 Il ne fait aucun doute qu'une bonne gestion du colostrum à la naissance est essentielle pour permettre le transfert de l'immunité passive. En effet, les veaux qui l’obtiennent risquent moins de souffrir de diarrhée.