Chaque juge d’exposition possède un ou deux critères clés qu’il recherche lorsqu’un exposant entre dans l’arène.

Le dicton « ça sent l’argent », utilisé lorsqu’un individu sent le fumier, ne pourrait être plus juste qu’à l’heure actuelle. Le coût des engrais atteignant des sommets inégalés, les éleveurs doivent être plus attentifs aux sous-produits de leurs animaux.

L’exploitation d’une ferme laitière est synonyme de stress. Les fluctuations du prix du lait, la pénurie de main-d’œuvre et les bris d’équipement figurent parmi les problèmes qui empêchent les agriculteurs de dormir. 

Les élevages de veaux et de génisses à forfait sont de plus en plus courants, car les fermes laitières cherchent à alléger la pression exercée par l’alimentation et la main-d’œuvre. 

Avec le contexte actuel dans lequel on observe une hausse des coûts de tous les postes de dépenses, il est primordial de trouver des options pour réussir à faire davantage d’argent. 

C’est facile de se laisser séduire par ce qui est nouveau et clinquant. Cela ne correspond pas toujours à ce dont vous avez besoin : efficacité, rentabilité et ultimement, une solution qui facilite vos tâches quotidiennes de gestion de troupeau.

Les répercutions sur le bien-être et la productivité de vos animaux peuvent être causées par une multitude d’éléments. 

En février dernier, j’ai eu l’occasion de représenter Progressive Dairy au Progressive Dairy Operators (PDO) Triannual Dairy Symposium de Toronto.

Les producteurs laitiers du Canada travaillent dur pour atteindre l’objectif du secteur, qui est de devenir carboneutres d’ici 2050. Ils mettent en œuvre les pratiques de gestion bénéfiques en matière d’environnement pour réduire, capter et/ou diminuer les émissions de carbone. 

De nombreux producteurs se demandent s’il est judicieux de construire de nouvelles étables étant donné la situation économique actuelle, marquée par des taux d’intérêt élevés et des coûts de production croissants.